“Depuis l’ouverture du pays en 2012, les investisseurs étrangers se bousculent en Birmanie. Parmi eux, plusieurs multinationales françaises lorgnent des contrats d’aéroport (Vinci, Bouygues) ou de télécoms (Orange). Pourtant, selon la FIDH, les conditions ne sont pas réunies pour un investissement responsable.”
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