“Un an après l’effondrement de l’usine textile bangladaise qui a fait plus de 1130 morts et 2000 blessés, des associations tentent de traduire devant la justice les responsables de la catastrophe.
Dans le drame du Rana Plaza, le pire accident industriel qu’a connu le pays et le plus important de l’histoire du textile, “les propriétaires du bâtiment et des usines, l’Etat, les autorités locales et les marques ont failli à leurs obligations”. C’est ce qu’affirme à la tribune de l’Assemblée nationale française (1), Sara Hossan, avocate à la Cour suprême bangladaise spécialisée en droit commercial et en droits humains.”
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