“90% de la province de l’Equateur sont couverts par la forêt. Un millier d’essences y ont été recensées, une trentaine sont exploitées et quelques-unes sont protégées. Mais comment contrôler la légalité des coupes sur ce territoire de la République démocratique du Congo qui fait plus de 4 fois la superficie de la France ? Mission impossible pour les bois protégés par les conventions internationales, très encadrés, et pour les inspecteurs forestiers, qui se comptent sur les doigts de deux mains…”
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